Je suis viticulteur avant tout, donc un homme de la terre très pragmatique pour qui l’analyse n’a qu’un seul objectif : anticiper pour améliorer l’action.

Sachant que les PME et TPE représentent 99,8% des entreprises françaises et emploient 50% des salariés, il est primordial pour moi, en tant que membre de la commission des affaires économiques et de la délégation des entreprises au Sénat, de coller à leur réalité.

L’évaluation des lois me semble, dans ce contexte, indispensable.

J’ai donc initié ce groupe de chefs d’entreprise, rencontré dans mon tour de l’Hérault, intitulé « l’éco fait écho ».

Comme son nom l’indique, je souhaite que leur parole soit portée et entendue au national.

Car qui mieux qu’eux, peut parler des freins à l’entreprise ?

Qui mieux qu’eux, peut avoir des idées, des pistes, pour simplifier les différentes phases administratives auxquelles vous êtes contraints ?

Les objectifs sont très clairs : échanger autour des textes législatifs et très concrètement analyser, de façon objective, s’ils correspondent aux améliorations attendues ou s’ils se heurtent aux limites de la réalité.